Je marche beaucoup dans Marseille, et ailleurs ! Mon appareil photo est toujours dans ma poche prêt à immortaliser un paysage, une rencontre, un évènement, un instant émouvant ou cocasse.
je suis Charles Huntziger, le ministre de la guerre alsacien du maréchal Pétain, mort pour lui et pour la France au champ d'honneur le 12 novembre 1941. "Plus est en nous" était ma devise. La normalienne communiste Annie Lacroix-Riz, professeur d'histoire émérite des universités parisiennes, continue de cracher sur ma mémoire
Pétain n'a été ni pro-nazi, ni pro-allemand, ni même fasciste. Comme en 1917, il a attendu les Américains, seuls capables de libérer le territoire. Car les Anglais seuls n'étaient rien face à la Wehrmacht. Et les Français étaient archi battus, comme jamais ils ne l'ont dans leur histoire. En mai 40 à Sedan, les chars français tombaient en panne au bout de 25 km. Les Panzer, eux, ont roulé jusqu'à Biarritz...
Les stalino-communistes voulaient en faire une victime expiatoire, camouflant leur propre collaboration Ribbentrop-Molotov. Pétain s'est rendu de lui-même à la justice de son pays, croyant pouvoir lui faire confiance. Il a plus sauvé de juifs de la Shoah que les terroristes communistes à la colonel Fabien. De Gaulle lui a évité l'exécution capitale. Les stalino-communistes à la Mélenchon continuent d'utiliser Pétain pour terroriser la droite et empêcher les gaullistes de voter Sarko.
Pétain a été déporté de force par la Gestapo à Sigmaringen. Pour l'emmener de force, la Gestapo à du briser à coups de hache la porte de son appartement de l'hôtel du parc à Vichy.